Toutes les œuvres de Jean-François Urbain g2j3n
Paysage corporel (120) • 2 œuvres 1pg36
Voir toutLes troncs, les branches et les feuillages dessinent un langage visuel où la lumière joue un rôle central, révélant tantôt des contrastes marqués, tantôt des nuances subtiles. Chaque photographie témoigne d’un instant suspendu, d’un équilibre entre le visible et le suggéré.
Ici, la forêt n’est pas seulement un décor, elle est un territoire de sensations. Un lieu où l’on se perd pour mieux se retrouver, où chaque image devient un fragment de mémoire, une résonance intime entre l’être humain et la nature.
Paysage corporel (135) • 14 œuvres 6h454q
Voir toutChaque photographie devient un fragment d’un paysage intérieur, un territoire organique où les plis, les pores et les imperfections tracent des lignes invisibles, à la manière de vallées et de crêtes. En noir et blanc, la lumière accentue ces formes naturelles, brouillant la frontière entre le corps et l’abstraction.
Les ants • 12 œuvres 736p61
Voir toutLa rue défile sous mes yeux comme une scène en perpétuel mouvement. Des silhouettes apparaissent, disparaissent, se croisent sans jamais se rencontrer. Des présences furtives, happées par l’instant.
Je cherche à capturer ces fragments d’histoires anonymes, à fixer un moment d’hésitation, un regard suspendu, un pas indécis.
La ville impose son rythme, mais parfois, dans l’effervescence, un détail surgit et fait vaciller le réel.
Flâneurs ou figures pressées, ils semblent pris dans un espace incertain, comme figés entre deux temps. Chaque image est une invitation à projeter sa propre narration, à deviner ce qui précède et ce qui suit.
Loin de tout portrait figé, cette série esquisse un poème urbain. Un langage de formes et de contrastes où le mystère demeure entier.
Portraits d'arbre II • 12 œuvres 4yd5x
Voir toutChaque photographie suit un cadre rigoureux, une mise en scène identique. Pourtant, aucun arbre ne ressemble à un autre. Comme les mots forment un texte, ces images assemblées font émerger une cohérence, une histoire.
Un fil tendu entre deux univers : l’avant-plan et l’arrière-plan. Une netteté progressive, puis un basculement brutal dans l’inconnu.
Le point de départ d’un voyage imaginaire.
Corporis Praesentia • 12 œuvres 6b1e1m
Voir toutChaque photographie capte un instant de cette quête physique et spirituelle, où la présence au corps devient un langage, un dialogue entre puissance et abandon. Une ode à la conscience du mouvement et à l’expression de soi à travers la matière vivante.